Institut d'Histoire de la Révolution Française (IHRF)
IHRF-IHMC
(UMR8066, CNRS/ENS/Paris 1)
Fondé en 1937 à l’initiative de Georges Lefebvre, l’Institut d'Histoire de la Révolution Française est rattaché à l’UFR d’Histoire (09) de l’Université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne.
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17, rue de la Sorbonne
Esc. C, 3e étage
75005 Paris
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Bibliothèque
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Thomas Corpet
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Les 76 jours de Marie-Antoinette à la Conciergerie (tomes 1 et 2/2)
Les 76 jours de Marie-Antoinette à la Conciergerie
Paul Belaiche-Daninos, Les 76 jours de Marie-Antoinette à la Conciergerie Tome I : La Conjuration de l’Oeillet, Actes Sud, 2007.
Jetant sur l’épouvantable épisode de la Terreur un éclairage original nourri de plusieurs années de recherches dans les archives de la Révolution, Paul Belaiche-Daninos révèle la lutte acharnée du baron Jean de Batz pour libérer Marie-Antoinette de la prison de la Conciergerie. Aidé dans son combat par le chevalier Alexandre de Rougeville, le baron de Batz monte un vaste complot contre-révolutionnaire en achetant à prix d’or tous les responsables de la détention de la Reine. C’est cette intrigue qui restera dans l’Histoire sous le nom de « conjuration de l’Oeillet ».
Réquisitoire contre la peine de mort, dénonciation de la folie sanguinaire des artisans de la Terreur et récit palpitant de ces soixante-seize jours de détention, cet ouvrage publié par Actes Sud a séduit un grand nombre de lecteurs avant d’être couronné par le prix Jacques de Fouchier de l’Académie française (2006). (4e de couverture)
Les 76 jours de Marie-Antoinette à la Conciergerie, Volume 2, Un procès en infamie
Paul Belaiche-Daninos, Les 76 jours de Marie-Antoinette à la Conciergerie, Volume 2, Un procès en infamie, Actes Sud, 2007.
Dans ce deuxième épisode haletant des Soixante-Seize Jours de Marie-Antoinette à la Conciergerie (dont le premier tome vient d’être couronné par l’Académie française), nous assistons, au jour le jour, au combat acharné et héroïque de ces artisans, hommes et femmes, qui tentent l’impossible pour délivrer Marie-Antoinette de sa captivité, en espérant s’emparer de la Reine sur le chemin de l’échafaud. Dans le Paris de la Terreur, cette opération clandestine appelée « le complot des Perruquiers » est orchestrée par le baron de Batz, homme de l’ombre auquel on doit une lutte sans pitié contre tous les « géants de la Révolution ».
Mais ce second volume traite surtout du procès de la Reine, véritable mascarade, où assassins déguisés en juges, jurés à la solde de Robespierre et faux témoins vont exécuter un carnaval juridique dont Sainte-Beuve a dit : « Je ne crois pas qu’il puisse exister de monument d’une stupidité plus atroce, plus ignominieuse pour notre espèce que le procès de Marie-Antoinette. »
Réquisitoire nourri par une observation fine de ces noires années de Terreur, Un procès en infamie est un événement éditorial, dans tous les sens du terme. (4e de couverture)
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