Comment écrire sa thèse, d’Umberto Eco (Flammarion)
L’écrivain italien, décédé en 2015, décrit ici les bonnes manières à adopter pour écrire une thèse de qualité. Parmi ses conseils : "L’important est de faire les choses avec passion. Si vous avez choisi un sujet qui vous intéresse (…), vous vous rendrez compte que la thèse peut être vécue comme un jeu, comme un pari, comme une chasse au trésor." A bien méditer !
La rentrée n’aura pas lieu, de Stéphane Benhamou (Editions Don Quichotte)
Comme chaque année, pour les traditionnels retours des vacanciers, Bison futé avait prévu que les 26 et 27 août seraient des journées noires sur les routes. Mais, aux péages comme dans les gares et les aéroports, on ne vit personne revenir. Onze millions d’Aoûtiens avaient, semble-t-il, décidé de faire la rentrée buissonnière… Ce séduisant point de départ débouche finalement sur l’un des romans les plus marrants de la rentrée !
Soyez imprudents les enfants, de Véronique Ovadé (Flammarion)
Dans les années 80, dans une Espagne post-franquiste pas encore totalement libérée de sa chape de plomb, la jeune Anastasia tombe raide dingue d’une immense toile de Roberto Diaz Uribe représentant un nu féminin. L’œuvre la conduira ainsi sur divers chemins de traverse, et surtout vers sa liberté…
Stories from Hogwaarts, de J.K. Rowling (Edition numérique uniquement)
L’auteure de la grande saga "Harry Potter" va proposer trois nouveaux ebooks, à partir du 6 septembre, proposant plusieurs histoires sur Poudlard. Du côté sombre du monde des Sorciers à l’école de la magie, en passant par les récits d’héroïsme de plusieurs personnages tels que Minerva McGonagall et Remus Lupin, les amateurs d’Harry Potter devraient être comblés en cette rentrée !
A la fin le silence, de Laurence Tardieu (Seuil)
Ce roman est le récit d’une année 2015 triplement singulière pour la narratrice : une année de promesse, en raison de l’arrivée imminente d’un enfant : de nostalgie, car elle va devoir vendre la maison de son enfance ; et de cauchemar, avec la vague d’attentats frappant la France, et qui la laisse sans mots…
Ni le feu ni la foudre, de Julien Suaudeau (Robert Laffont)
Du petit matin jusqu’au soir du 13 novembre 2015, cinq personnages chassent le bonheur dans les rues de Paris, poussés par des vents contraires : l’espoir et les regrets, la colère et le calme, la joie et le deuil. Les pas de ces Parisiens les rapprochent du concert ou les en éloignent ; leurs destins s’entrelacent ou s’écartent…
Judas, d’Amos Oz (Gallimard)
Se déroulant dans une maison de Jérusalem, à la fin des années 50, ce roman mêle le destin individuel d’un jeune étudiant et la grande histoire, celle de la naissance d’Israël, avec en toile de fond un intéressant questionnement sur les textes religieux, et notamment sur les rapports entre le judaïsme et le christianisme, ainsi que sur la figure de Judas.
Monsieur le Prof (Flammarion)
Monsieur Le Prof est très certainement le professeur le plus populaire de France avec ses 155 000 followers sur le célèbre réseau social Twitter. Après avoir posté plus de 20 000 tweets bien souvent humoristiques et parfois satiriques, il a rédigé un véritable agenda illustré permettant de pénétrer dans la vie intime d’un drôle de professeur d’anglais.
Le vieux saltimbanque, de Jim Harrison (Flammarion)
Dans un récit à la troisième personne, la légende Jim Harrison revient sur des épisodes marquants de sa vie : souvenirs d’enfance, découverte de la poésie, mariage, amour de la nature, célébration des plaisirs de la chair et de la table, alcools et paradis artificiels. Il tisse ainsi le roman d’une vie.
Les Parisiens, d’Olivier Py (Actes Sud)
Rastignac d’après le désenchantement, Aurélien ne croit en rien mais veut tout. La gloire, le scandale, la liberté, tout casser et tout réinventer, connaître l’ivresse du plaisir et toucher du doigt la beauté comme on vole un baiser. Et ce tout ineffable et concret, c’est Paris qui le détient, c’est Paris qui le lui donnera !
Denis Anniel pour #LeSorbonnaute
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